Goetzenbruck : un mari tue sa femme puis se suicide


par Radio Mélodie
jeudi 25 février 2016 à 18:18

Goetzenbruck : un mari tue sa femme puis se suicide
Photo Cédric KEMPF - Radio Mélodie

Goetzenbruck, une commune de 1 600 habitants située dans le pays de Bitche, est sous le choc. Ce matin, au 58 rue de Bitche, un couple d'une quarantaine d'années a été retrouvé mort à leur domicile. Ce sont les sapeurs-pompiers de Bitche qui ont fait la macabre découverte vers 9h30. Ils ont été alertés par les père de l'épouse qui n'avaient plus de nouvelles. 

Les gendarmes de la communauté de brigades de Bitche se sont rendus sur place, avec les renforts des gendarmes de la brigade de recherche de Sarreguemines et la cellule d'idenfication criminelle de Metz. Selon notre journaliste sur place, ils menaient des investigations au domicile des deux époux. 

Le maire de la commune, Joël Romang, était abattu par cette nouvelle ce matin. 

Son N°1 - Goetzenbruck : un mari tue sa femme puis se suicide

Même chose avec les voisins du couple. Janick était très émue ce matin lorsqu’elle a appris cette nouvelle.

Son N°2 - Goetzenbruck : un mari tue sa femme puis se suicide

Toujours est-il qu'il s'agit d'un couple sans histoire, impliqué dans la vie de la commune. L'homme s'était présenté sur la liste du maire comme conseiller municipal lors des élections en 2008. Il travaillait au 16e bataillon de chasseurs de Bitche en tant qu'employé civil. Quant à son épouse, elle était aide-soignante à l'hôpital d'Ingwiller au sein de l'unité Alzheimer. Ils avaient un enfant, un fils d'une vingtaine d'années qui réside à Limoges.

Le procureur de la République de Sarreguemines, Jean-Luc JAEG, a tenu un point presse à 17h pour relater les faits :

Son N°4 - Goetzenbruck : un mari tue sa femme puis se suicide

S’agit-il d’un drame familial, d’un meurtre ou d’un cambriolage qui a mal tourné ? La réponse de Jean-Luc Jaeg.

Son N°5 - Goetzenbruck : un mari tue sa femme puis se suicide

Le parquet du tribunal de Sarreguemines a ouvert une enquête. Ce sont les gendarmes de la communauté de brigades de Bitche qui mènent les investigations.


Un site fièrement propulsé par