Saga Da Vinci : l'histoire d'une pizzeria fondée par le Stiringeois Stéphane Castellano

Cette semaine, la rédaction de Radio Mélodie s’est mise aux fourneaux et a rejoint l’équipe de la pizzeria Da Vinci. Depuis de nombreuses années, les pizzas, mais aussi salades et tartines font le succès de Da Vinci qui dispose de trois sites : un à Sarreguemines, un à Hambach et un dernier à Sarre-Union. Pour ce premier épisode, nous avons rencontré le fondateur et gérant Stéphane Castellano.
Son N°1 - Saga Da Vinci : l'histoire d'une pizzeria fondée par le Stiringeois Stéphane Castellano
Originaire de Stiring-Wendel, l’homme de 48 ans a toujours mis la main à la pâte… Ou presque. Il a commencé comme livreur de pizza, à mobylette, en parallèle de ses études, avant d’aller en cuisine puis de passer à l’étape supérieure : ouvrir sa propre pizzeria.
Pour ne pas enquiquiner mon patron, je ne suis pas resté dans son secteur de chalandise, et j'ai donc ouvert avec ma femme Jeanette, le 1er décembre 1996 à Welferding, la première pizzeria Da Vinci.
Mais d’où vient ce nom « Da Vinci » ?
Nous étions avec ma femme quelques temps avant dans un petit hôtel en Italie qui s'appelait Da Vinci, et je trouvais qu'avec le "a", le "i", il y a les lettres de pizza et que ça sonnait bien.
Stéphane Castellano a en fait récupéré un snack en liquidation judiciaire. Il n’y avait donc pas que des pizzas au départ.
On a commencé à faire des frites, des hamburgers, des américains, des saucisses blanches et des merguez, mais on a vite arrêté parce que le mariage entre la farine et l'huile de friture, je vous garantis que le soir vous mettez du temps à récurer.


La pizzeria s’est ensuite faite un nom pour prendre de l’ampleur au fil des années.
On était dans un petit local pendant une dizaine d'années, et en fait on a restructuré en 2007, puis est née la pizzeria de Hambach en septembre 2008, suivie de l'ouverture de la pizzeria de Sarre-Union en janvier 2012.
Et enfin la salle du restaurant à Welferding a vu le jour en 2015.
Les pics de commande se font lors des finales de coupe du monde, mais sans lui, ni sa femme. Ils ne sont plus derrière le comptoir, c’est pour ça qu’on n’entend plus…
Da Vinci, bonsoir ! Ma femme et moi, nous étions quand même 25 ans derrière le comptoir 6 jours sur 7. Après tout le travail fait en amont, on commençait à être un peu fatigué et on a un petit peu levé le pied.
Stéphane sait qu’il peut compter sur ses équipes pour faire tourner l’entreprise qui fêtera ses 30 ans l’an prochain. Et lorsqu’on lui pose la question : que sera Da Vinci dans 30 ans ? Il répond tout simplement.
Que l'aventure continue !