Les ex Depalor ne sont pas morts ! Michel Beltran et ses anciens collègues le prouveront cet après-midi devant le Conseil des Prud’hommes de Metz pour une nouvelle audience sur le caractère abusif du licenciement pour motif économique.
L’usine Depalor de Phalsbourg avait été ravagée par les flammes dans la nuit du 22 au 23 juillet 2013. Fin novembre de la même année, la direction décidait de ne plus redémarrer l’activité et de licencier 143 personnes.
Pour Michel Beltran et ses anciens collègues il y avait pourtant la possibilité de tout refaire ici, selon lui à ce moment-là, la société était largement bénéficiaire.
Radio Mélodie
| jeudi 14 septembre 2017 à 05:38