L’aspartame, tueur silencieux.

La Mélodie Family

L’aspartame, tueur silencieux.

Épisode du jeudi 23 mai 2013 à 00:00


L’aspartame, tueur silencieux.

 

Qu’est-ce que l’aspartame ?

L’aspartame est l’un des édulcorants le plus utilisé par l’industrie agroalimentaire. Il a été découvert en 1965  par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révélés qu’ils entraînaient des cancers. L’aspartame fut mis  sur le marché pour la première fois aux Etats-Unis en 1974 et autorisé en France à partir de 1981.

Dés son apparition, l’aspartame a été accusé d’être dangereux pour la santé. Sclérose en plaques, crises d’épilepsie, tumeurs du cerveau…

Qu’en est-il exactement ?

Parce que vous vous préoccupez de votre poids, vous pensez que les édulcorants sont meilleurs que le sucre pour votre santé et votre ligne ? Grave erreur !

A première vue, c’est génial de manger sucré sans avoir l’inconvénient des calories ! Cependant, la liste des plaintes à propos de l’aspartame ne cesse de s’allonger, particulièrement aux Etats-Unis, où on observe une importante consommation de produits light. Pire, on sait maintenant que la consommation d’aspartame entraîne des effets secondaires allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau.

En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute révèlent une hausse alarmante du nombre des tumeurs du cerveau en 1983 donc avant l’arrivée des téléphones portables qui ne cessent d’augmenter les faits.

Les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l’apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l’aspartame. Le débat pour son retrait du marché n’a cessé depuis.

L’aspartame est un édulcorant de synthèse, modifié génétiquement et composé de deux acides aminés : la phénylalanine et l’acide aspartique. Son pouvoir sucrant est deux cents fois supérieur au sucre. C’est en 1974 que l’aspartame est mis à l’index pour la première fois,

 à la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire. En septembre 1980, après délibération, un comité de la food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l’aspartame. Mais les intérêts financiers l’emportent sur la raison. Il a été démontré que des décès d’animaux ont été cachés, que des tumeurs n’ont pas été rapportées. En 1996, un médecin décide d’analyser  l’ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d’aspartame Ses observations parlent d’elles-mêmes : parmi les 174 études analysées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame, et 100% d’entre elles concluaient qu’il n’y avait aucun problème avec ce produit ! Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 ont relevé un ou plusieurs problèmes liés à l’usage de cet édulcorant. L’aspartame est l’objet de controverses depuis son apparition Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie productrice n’est pas prête à lâcher le morceau….

 

Des effets secondaires troublants.

La liste des effets secondaires liés à la consommation d’aspartame est très longue

 En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d’effets secondaires liés à l’aspartame. Les plus fréquentes sont : maux de tête, vertiges, vision embrouillée, changement d’humeur, maux de ventre, crampes musculaires. Aux Etats-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l’ingestion de boissons à l’aspartame. Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du US Air Force et du US Air Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.

Parmi les autres symptômes, figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs articulaires, les troubles menstruels, les crises d’épilepsie. Et, il ne s’agit que d’une fraction des effets actuellement associés à l’aspartame, puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes et ce produit. Et même s’ils le font, seul un léger pourcentage des professionnels de la santé prendra le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.

En 1991, le National Heath a publié une bibliographie, énumérant 167 raisons d’éviter l’aspartame.

 

Aspartame et gain de poids.

Puisque l’aspartame contient le même nombre de calories que le sucre, mais que son pouvoir sucrant est de 200 fois plus élevé, comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte ?

Se pourrait-il qu’il envoie une dose massive d’insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse ? Est-ce que la chute du sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger ? La thèse de l’hypoglycémie a été confirmée par l’Américan Cancer Society après avoir suivi 80 000 femmes pendant 6 ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes utilisant des édulcorants en ont pris davantage que celles qui n’en consommaient pas.

Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes au régime, démontre qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame, comparativement à l’ingestion de boissons sucrées naturellement..

Dans cette controverse, une chose est sûre : les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.

Le formaldéhyde, notamment lorsque l’aspartame a été chauffé s’accumule dans les cellules graisseuses, particulièrement au niveau des hanches et des cuisses .

 

Diabétiques, s’abstenir !

Un endocrinologue affirme que l’aspartame compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises d’hypoglycémie plus fréquentes et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies…). De plus, chez un  certain nombre de ses patients, il a incorrectement diagnostiqué qu’ils étaient atteints de sclérose en plaque ; les médecins dans l’erreur ignoraient que l’ingestion régulière d’aspartame entraîne des symptômes semblables à ceux de la sclérose en plaques.

L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées, ce qui se produit lorsqu’on fait chauffer l’aspartame (préparations culinaires) ou que l’on l’ajoute à des liquides chauds (dans le café par exemple) ou lorsqu’il est entreposé au soleil. La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique (poison des fourmis rouges),  tous responsables de tumeurs au cerveau.

Le formaldéhyde est classifié dans le même groupe de poisons mortels que le cyanure et l’arsenic. La différence, c’est qu’il met plus de temps à tuer, mais il tue et cause toutes sortes de troubles neurologiques. L’aspartame modifie le taux de dopamine dans le cerveau. Imaginez l’effet de cette drogue chez les patients atteint de la maladie de Parkinson ?

L’intoxication au méthanol reproduit les symptômes de la sclérose en plaques (SEP), de là, des erreurs de diagnostic parmi les diagnostics de SEP.

L’intoxication au méthanol peut être mortelle. Pour le cas du lupus systémique, il a été observé qu’il est presque autant répandu que la SEP particulièrement chez les consommateurs de coca light  Dans le cas de l’intoxication au méthanol, les victimes boivent généralement 3 à 4 cannettes par jour.

Dans le cas de lupus systémique, déclenché par l’aspartame, le malade ne sait généralement pas que c’est l’aspartame qui est en cause et continue sa consommation, aggravant les symptômes à tel point que sa vie en est menacée. Lorsqu’on élimine l’aspartame, le malade devient généralement asymptomatique.

Des patients chez qui une SEP a été diagnostiquée, alors qu’en réalité ce n’est qu’une intoxication au méthanol, ont vu leurs symptômes disparaître après arrêt de la consommation d’aspartame.

Si vous consommez de l’aspartame et que vous souffrez de symptômes de fibromyalgies, de spasmes, de lancements et d’engourdissement dans les jambes, de crampes, de vertiges, nausées, maux de tête, acouphènes, discours incohérent, vision trouble, perte de mémoire , il est possible que vous ayez la maladie de l’aspartame.

La perte de mémoire est due au fait que l’acide aspartique et la phénylalanine sont des neurotoxiques, passant la barrière sanguine du cerveau et détériorant les neurones.

L’aspartame aggrave la maladie d’Alzheimer. L’aspartame serait responsable de crises maniacodépressives, de panique, de violence.

 

La maladie de l’aspartame est une des causes qui se cachent derrière le syndrome de la guerre du Golfe. La langue brûlante et autres troubles observés dans plus de 60 cas peuvent être directement liés à la consommation d’aspartame. Plusieurs milliers de palettes de coca light ont été acheminées aux troupes de l’opération Tempête du désert. Ces canettes ont séjournées sous le  soleil arabique pendant plusieurs semaines sur des palettes. Les militaires en buvaient toute la journée. Tous leur symptômes sont identiques à ceux de l’empoisonnement à l’aspartame.

Selon un pédiatre et professeur en génétique, la phénylalanine se concentre dans le placenta, faisant naître des attardés mentaux.

Un sénateur a écrit une circulaire, mettant en garde les femmes enceintes contre l’aspartame. Cette note a été anéantie par le puissant lobby des médicaments et produits chimiques, laissant la porte ouverte aux maladies et à la mort dans un public non méfiant.

Un neurochirurgien déclare que l’on peut trouver de forts taux d’aspartame dans les tumeurs

au cerveau.

 

Quoi faire ?

Près de 2% de la population est porteuse sans le savoir d’un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or l’aspartame, contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d’une enzyme spécifique. Ces personnes doivent éviter de consommer de l’aspartame au risque de faire des crises d ‘épilepsie et d’avoir des troubles mentaux sévères.

Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des  édulcorants, cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.

Lisez attentivement les étiquettes car l’aspartame s’est infiltré partout

 

Où se cache t-il ?

L’aspartame est présent partout, notamment dans les produits dits light :  crèmes glacées, yaourts et crèmes desserts diverses, céréales pour petits déjeuner, bonbons, chewing gum, plats cuisinés, gâteaux, en gros dans la plupart des produits allégés, même les médicaments, notamment les sirops et pastilles pour la toux sans sucre, les compléments vitaminiques à croquer pour les enfants….

Vous devrez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l’aspartame s’est infiltré partout et à mon avis, plus vous vous tiendrez éloigné de cet additif, mieux, vous vous portez. Il vaut donc mieux consommer un peu de sucre complet ou du sirop d’agave.

                                  

Source

Conférence mondiale sur l’environnement,

 La fondation de la sclérose en plaque

La Food and Drug Administration.

 

Pour vous accompagner dans votre démarche de santé, Christiane Barbiche, éducatrice de santé, praticien  naturopathe, vous propose Bilan de vitalité naturopathique; Réglage alimentaire personnalisé ; Gestion du stress ; Objectif minceur ; Détoxination & remise en forme. Consultations sur  Rendez-vous  au 03 87 97  95 48.

 

 

 


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