Au cœur du quotidien des gendarmes lors des portes ouvertes de la caserne de Sarreguemines

Pour la première fois depuis son inauguration en 2013, la gendarmerie de Sarreguemines a ouvert ses portes au public ce samedi. L’occasion pour les curieux et les futurs gendarmes de découvrir la profession.
Son N°1 - Au cœur du quotidien des gendarmes lors des portes ouvertes de la caserne de Sarreguemines
Un blindé accueille les visiteurs pour le plaisir des grands et des petits. Sur le site de la caserne, différents ateliers sont proposés. Noam a immédiatement voulu essayer le simulateur de tonneau à bord d’une voiture renversée dont il a dû s’extraire.
On pose les pieds sur le pare-brise, on pose les mains sur le toit, on pousse avec les jambes, on se détache de la ceinture, et puis, on peut sortir. Je n’aurais jamais pensé faire comme ça pour sortir de la voiture, c’est super intéressant.
Un peu plus loin, Céline a profité de l’événement pour se mettre pour la première fois de l’autre côté des jumelles de vitesse.
Ça fait bizarre ! J’essaye de comprendre comment ils nous relèvent la vitesse avec ces jumelles, mais je n’ai pas compris.





À travers divers ateliers, les gendarmes mettent en lumière leur métier et leur matériel, notamment sur le stand du PSIG (peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie) avec Pierre Antoine.
Aujourd’hui, on présente nos moyens d’effraction, notre armement, la façon dont on travaille également. On a remarqué que les curieux, qui viennent vers nous, sont très attirés par l’armement qu’on a. On a envie de présenter notre métier au mieux, pour que ça les intéresse au maximum et que, peut-être, plus tard, ils puissent être intéressés par une carrière.







Justement, Emeline souhaiterait faire carrière dans la gendarmerie, elle a déjà passé les concours, mais elle est venue chercher des informations supplémentaires auprès des gendarmes.
Pour poser des questions plus précises par rapport à certains objectifs de carrière et aussi pour échanger avec eux, en voyant des choses qu’on ne serait pas amenés à voir en temps normal, puisque les portes ouvertes en gendarmerie sont assez rares.
Pour d’autres comme pour Anne-Sophie, c’était l’occasion de découvrir le quotidien de son compagnon.
Je voulais voir son travail. J’ai pu découvrir les différents types d’armes et de grenades, ce qu’il utilise dans son métier, comme le bus ou l’hélicoptère que nous sommes allés voir.
Des démonstrations d’interventions et un exercice d’immersion d’une enquête fictive ont complété l’événement pour plonger les visiteurs dans le quotidien des gendarmes.