Diebling : Une taverne viking et du lancer de hache en extérieur chez Hache'Lor

On prend des nouvelles de la salle de lancer de hache de Diebling : Hache’Lor. Lancé à la fin de l’année 2022, ce concept a fait depuis de nombreux adeptes. Après plus de 2 années d’ouverture, nous avons retrouvé le gérant Jeoffrey Kasper pour faire un premier bilan.
Son N°1 - Une taverne viking et du lancer de hache en extérieur chez Hache'Lor
Lorsque nous avons rencontré Joffrey pour la première fois, en novembre 2022, il était sur le point d’ouvrir sa salle.
On place le pied, le bras en avant puis en arrière, et on lance fort !
2 ans et demi plus tard, le lancer de hache est toujours au cœur du projet.
Je change de haches une fois par mois, on a en tout 15 modèles différents de haches.
De l'hydromel et du lancer de hache en extérieur
C’est à l’entrée de Hache’Lor, sur la partie bar que le concept a évolué.
Comparé au début, on a eu la licence III pour vendre de l’alcool, ça a déjà été un gros boum de pouvoir vendre de l’hydromel ici. Au niveau de la restauration, on fait plus de restauration. Maintenant, on fait des plateaux de charcuterie, on fait des flamms. Il fallait rajouter de la restauration pour que ça amène plus de monde.
C’est dans une véritable taverne, toujours dans un univers viking affirmé, que Jeoffrey concocte plusieurs spécialités.
On fait le sang de viking, c’est de l’hydromel avec de l’Eau Blinger et on fait de l’hydrotrèfle avec du citron, de la menthe et de l’hydromel (alcool à base de miel et d’eau).
Autre nouveauté depuis le lancement, Hache’Lor se délocalise.
J’ai la chance d’avoir des structures de haches qu’on a aménagé pour faire de l’extérieur et j’ai la chance de faire des endroits un peu partout en France, et là, je vais même à l’international puisque je vais aller en Suisse. J’ai pu faire le MozHell, le festival de métal à Insming, j’ai pu faire des mariages, j’ai fait pendant 2 ans le Fensch Viking Fest, un grand rassemblement de vikings à Florange, etc.
Depuis l’ouverture, Jeoffrey est seul et doit faire face tous les jours aux difficultés du monde de l’entreprenariat. Ce sont les clients qui répondent présents depuis le début qui lui donnent l’envie de continuer.
Le nombre d’heures faut pas le compter, parce que c’est bien beau d’être ouvert 32h/semaine, mais on ne bosse pas que 32h/semaine, c’est un nombre d’heures inimaginable, mais après j’ai la chance d’avoir un métier que j’aime. Ça fait tellement plaisir d’accueillir des gens qui me disent que : « c’est incroyable », c’est vraiment un plaisir.