Sandrine en route vers le Top de Colmar, épisode 2

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par Camille Bazin
jeudi 5 mars 2020 à 05:33

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Dans moins d’un mois, le 28 mars, Sandrine De Charles de Stiring-Wendel participera au Top de Colmar, une prestigieuse compétition de bodybuilding en France.

Souvenez-vous nous l’avions déjà rencontré il y a deux mois alors qu’elle entamait à peine sa transformation. Nous sommes retournés la voir il y a quelques jours en plein entraînement.

Son N°1 - Sandrine en route vers le Top de Colmar, épisode 2

« Tout tourne autour de ça »

Sandrine, 43 ans, infirmière à l’hôpital Marie Madeleine et mère célibataire a le goût du challenge. Il y a quelques mois elle a décidé de participer au Top de Colmar, une prestigieuse compétition de bodybuilding.

À quatre semaines du grand jour, elle est plus motivée que jamais « Tout tourne autour de ça. Mes courses, l’organisation de ma journée avec ma séance de sport, ce que je vais manger, c’est un peu compliqué mais on prend le pli. »

Depuis le mois de janvier Sandrine suit un régime alimentaire très strict. Elle pèse chaque aliment et ne mange pas des féculents tous les jours « je n’ai pas l’habitude de devoir me restreindre comme ça ce n’est pas évident ».

Il y a quelques jours, après une journée de travail stressante, Sandrine a craqué et s’est attaquée à un paquet de biscottes, un faux pas qu’il ne faut pas dramatiser pour sa coach Jessica Creteur, « ça arrive ça fait partie du processus. Il faut que de mon côté j’arrive à réagir. On a passé une journée aux thermes qui lui a fait du bien moralement et physiquement et là elle est repartie à fond. »

« Aujourd’hui je peux confirmer qu’elle sera à Colmar le 28 mars »

Si quand nous avions rencontré Sandrine au mois de décembre sa coach Jessica commençait tout juste le travail avec elle, deux mois plus tard elle n’a plus aucun doute sur ses capacités « Le bas du corps bouge, le haut du corps est magnifique. Aujourd’hui je peux confirmer qu’elle sera à Colmar la 28 mars ».

Pour Sandrine, il reste encore une étape, apprendre à défiler et à poser, « ça j’ai à peine démarré. C’est un peu compliqué parce que c’est pouvoir présenter des groupes musculaires et les mettre en avant et ensuite il faut que ce soit fluide. Il faut savoir se placer sans miroir et puis il y a un enchaînement à faire ».

Si aujourd’hui Sandrine est quasiment prête, elle le sait il ne faudra rien lâcher pour ce dernier mois. Son objectif être sur scène le 28 mars avec la satisfaction d’être allé au bout.  

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