Bitche : Un parcours Ninja inspiré du jeu télévisé de TF1, pour se dépasser

Ce samedi avait lieu la compétition Warrior Event. Organisé par Warrior Spirit et Ultimate Ninja, un parcours inspiré du jeu de TF1, « Ninja Warrior » avec 4 piscines sous les agrès, a permis de voir s’affronter plus de 25 candidats de tout âge et de différentes nationalités.
Son N°1 - Un parcours Ninja inspiré du jeu télévisé de TF1, pour se dépasser
Les uns après les autres, les participants français et allemands tentent de se qualifier pour la finale du soir en s’élançant sur ce parcours, pas facile pour Jean-Marie qui ne s’était pas assez entraîné.
La mémoire musculaire est toujours là, parce que j’avais beaucoup travaillé à une époque, donc, je sais comment passer les obstacles. Par contre, la résistance au niveau des bras, c’est plus dur, les mains aussi, et le cardio c’est terrible quand on ne s’entraîne pas.





De son côté, Yann, qui vient de réaliser le 2eme meilleur chrono des qualifications, n’a pas négligé l’entraînement.
Ça fait depuis la première édition Ninja Warrior que je m’entraîne. On a fait, avec mon frère, un portique en bois, Ninja Warrior, dans notre jardin, et on s’entraîne depuis 8 ou 9 ans.
Un parcours faisable, mais qui demande de la technique
Il faut savoir se balancer, envoyer le corps vers l’avant, repartir en arrière. Il y a de plus en plus de petites techniques qui aident, comme ce qu’on appelle le « Linking », qui permet de freiner son mouvement, pour élancer son corps vers l’avant et enchaîner. Ça permet de gagner du temps et de précieuses secondes.
Et parfois, en quête du meilleur temps, des erreurs sont commises. Arthur a pu goûter à la piscine sous les agrès.
J’ai un peu glissé sur le troisième agrès, mais sinon c’était un parcours sympa. Il faut participer et ne pas avoir peur de tomber.






Un événement salué par tous pour la ressemblance avec le jeu télévisé « Ninja Warrior », qui rassemble des habités de tout âge selon Dario de Ultimate Ninja et Claudie de Warrior Spirit qui se sont associés pour créer ce parcours.
On a l’habitude de les côtoyer. – Dario
Il y en a un qui a 65 ans, et on est très impressionné. Tous les ans, il vient et il arrive à finir le parcours malgré son âge, ce qui prouve qu’à n’importe quel âge on peut encore faire du sport. - Claudie